Sarthe : une détonation en plein conseil municipal, trois élus se défenestrent
Inquiets d'entendre "un bruit de mitraillette", trois élus de Challes, dans la Sarthe, ont préféré sauter par la fenêtre, jeudi 29 février. L'une deux est sérieusement blessée. Il s'agissait en fait de pétards. L'auteur s'est félicité de cet acte malveillant dans un courrier, racontent France Bleu et Le Maine Libre.
Le conseil municipal de Challes (Sarthe) a été particulièrement mouvementé, jeudi 29 février. Dans cette petite commune d'environ 1 200 habitants, trois élus se sont échappés par la fenêtre, apeurés par ce qui ressemblait à "un bruit de mitraillette", racontent France Bleu Maine et Le Maine Libre. L'histoire aurait même pu devenir dramatique, puisqu'une élue s'est sérieusement blessée en se défenestrant. Elle se trouvait toujours à l'hôpital vendredi.
Plutôt qu'une mitraillette, ce sont en fait les bruits d'explosion de pétards et la fumée qui s'en est dégagée qui ont provoqué la panique des élus, d'après les informations rapportées par France Bleu. Une enquête est désormais en cours pour y voir plus clair sur les circonstances et retrouver les auteurs de l'explosion. Les détonations sont survenues quand le conseil touchait presque à son terme jeudi. Si la salle du conseil est en rez-de-chaussée, elle surplombe une cave et un escalier. "Les deux premiers ont réussi à éviter la cage d'escalier, mais la troisième est tombée dans la cage d'escalier", d'une hauteur d'"au moins trois mètres", explique Yannick Livet, adjoint au maire de Challes.
L'auteur du geste se réjouit dans un courrier à la mairie
Ces fameux pétards auraient en fait été jetés dans le couloir, à l'entrée de la mairie. "Un collègue a pris sa voiture pour sillonner la commune mais n'a trouvé personne. [...] Ce n'est pas une blague mais un acte de malveillance à l'égard des élus", s'indigne l'adjoint, qui a porté plainte, comme chacun des conseillers présents ce jeudi. L'auteur de l'acte, quant à lui, semble satisfait des effets de son geste, au point de s'en féliciter dans un courrier posté dans la boîte aux lettres de la mairie. "Il se réjouit de nous avoir fait peur et s'adresse à la gendarmerie en disant qu'il est bien caché", précise le maire, Guy Fourmi, à France Bleu. Il se dit encore "secoué" par les faits.
Inquiets d'entendre "un bruit de mitraillette", trois élus de Challes, dans la Sarthe, ont préféré sauter par la fenêtre, jeudi 29 février. L'une deux est sérieusement blessée. Il s'agissait en fait de pétards. L'auteur s'est félicité de cet acte malveillant dans un courrier, racontent France Bleu et Le Maine Libre.
Le conseil municipal de Challes (Sarthe) a été particulièrement mouvementé, jeudi 29 février. Dans cette petite commune d'environ 1 200 habitants, trois élus se sont échappés par la fenêtre, apeurés par ce qui ressemblait à "un bruit de mitraillette", racontent France Bleu Maine et Le Maine Libre. L'histoire aurait même pu devenir dramatique, puisqu'une élue s'est sérieusement blessée en se défenestrant. Elle se trouvait toujours à l'hôpital vendredi.
Plutôt qu'une mitraillette, ce sont en fait les bruits d'explosion de pétards et la fumée qui s'en est dégagée qui ont provoqué la panique des élus, d'après les informations rapportées par France Bleu. Une enquête est désormais en cours pour y voir plus clair sur les circonstances et retrouver les auteurs de l'explosion. Les détonations sont survenues quand le conseil touchait presque à son terme jeudi. Si la salle du conseil est en rez-de-chaussée, elle surplombe une cave et un escalier. "Les deux premiers ont réussi à éviter la cage d'escalier, mais la troisième est tombée dans la cage d'escalier", d'une hauteur d'"au moins trois mètres", explique Yannick Livet, adjoint au maire de Challes.
L'auteur du geste se réjouit dans un courrier à la mairie
Ces fameux pétards auraient en fait été jetés dans le couloir, à l'entrée de la mairie. "Un collègue a pris sa voiture pour sillonner la commune mais n'a trouvé personne. [...] Ce n'est pas une blague mais un acte de malveillance à l'égard des élus", s'indigne l'adjoint, qui a porté plainte, comme chacun des conseillers présents ce jeudi. L'auteur de l'acte, quant à lui, semble satisfait des effets de son geste, au point de s'en féliciter dans un courrier posté dans la boîte aux lettres de la mairie. "Il se réjouit de nous avoir fait peur et s'adresse à la gendarmerie en disant qu'il est bien caché", précise le maire, Guy Fourmi, à France Bleu. Il se dit encore "secoué" par les faits.
