Kendji Girac blessé par balle : ce que révèlent les premières auditions et analyses

Les enquêteurs ont pu éclaircir un peu plus les circonstances dans lesquelles le chanteur Kendji Girac a été blessé par balle, révèle Le Parisien mardi 23 avril.
Les circonstances de la blessure par balle du chanteur de 27 ans Kendji Girac, dans la nuit du 21 au 22 avril dans un camp de gens du voyage à Biscarosse restent encore floues, mais les enquêteurs de la gendarmerie ont pu avancer, révèlent nos confrères du Parisien dans un article paru mardi 23 avril dans la soirée. La gendarmerie est chargée de l’enquête ouverte pour "tentative d’homicide volontaire" par le parquet de Mont-de-Marsan.
Selon les enquêteurs, la balle a bien été tirée depuis l’intérieur de la caravane où Kendji Girac se trouvait, selon plusieurs témoignages, avec sa compagne Soraya. Des sources concordantes révèlent au Parisien que les premières expertises balistiques démontrent que la balle a transpercé la cage thoracique du chanteur, puis est ressortie au niveau de son dos avant de percer l'une des parois de la caravane, de l’intérieur vers l’extérieur.
De nombreuses zones d’ombre
Si l’état de santé du chanteur n’est plus inquiétant, de nombreuses questions restent encore en suspens : qui a réellement tiré la balle ? Le chanteur a affirmé aux enquêteurs, au moment de son hospitalisation, que le coup de feu était "accidentel" et qu’il serait parti alors qu’il manipulait un "pistolet automatique de calibre 11, acheté peu auparavant". Une version confirmée par plusieurs membres de l’entourage du chanteur.
D’autres points restent à éclaircir, notamment la raison de la disparition de l’arme à feu à l’arrivée des gendarmes, arme qui a ensuite été retrouvée dans un fossé sur indication de plusieurs proches du chanteur. La présence de sa compagne dans la caravane, et son rôle dans les faits, doivent encore être déterminés. "Il faut rester vigilants. C’est un huis clos et l’action d’un tiers ou une tentative de suicide que certains proches auraient tenté de dissimuler ne peuvent pas être exclues", a indiqué une source proche de l’enquête au Parisien.

Les enquêteurs ont pu éclaircir un peu plus les circonstances dans lesquelles le chanteur Kendji Girac a été blessé par balle, révèle Le Parisien mardi 23 avril.
Les circonstances de la blessure par balle du chanteur de 27 ans Kendji Girac, dans la nuit du 21 au 22 avril dans un camp de gens du voyage à Biscarosse restent encore floues, mais les enquêteurs de la gendarmerie ont pu avancer, révèlent nos confrères du Parisien dans un article paru mardi 23 avril dans la soirée. La gendarmerie est chargée de l’enquête ouverte pour "tentative d’homicide volontaire" par le parquet de Mont-de-Marsan.
Selon les enquêteurs, la balle a bien été tirée depuis l’intérieur de la caravane où Kendji Girac se trouvait, selon plusieurs témoignages, avec sa compagne Soraya. Des sources concordantes révèlent au Parisien que les premières expertises balistiques démontrent que la balle a transpercé la cage thoracique du chanteur, puis est ressortie au niveau de son dos avant de percer l'une des parois de la caravane, de l’intérieur vers l’extérieur.
De nombreuses zones d’ombre
Si l’état de santé du chanteur n’est plus inquiétant, de nombreuses questions restent encore en suspens : qui a réellement tiré la balle ? Le chanteur a affirmé aux enquêteurs, au moment de son hospitalisation, que le coup de feu était "accidentel" et qu’il serait parti alors qu’il manipulait un "pistolet automatique de calibre 11, acheté peu auparavant". Une version confirmée par plusieurs membres de l’entourage du chanteur.
D’autres points restent à éclaircir, notamment la raison de la disparition de l’arme à feu à l’arrivée des gendarmes, arme qui a ensuite été retrouvée dans un fossé sur indication de plusieurs proches du chanteur. La présence de sa compagne dans la caravane, et son rôle dans les faits, doivent encore être déterminés. "Il faut rester vigilants. C’est un huis clos et l’action d’un tiers ou une tentative de suicide que certains proches auraient tenté de dissimuler ne peuvent pas être exclues", a indiqué une source proche de l’enquête au Parisien.





