Ukraine : « annonces fantasques », « dérapages incontrôlés », Jean-Luc Mélenchon étrille Emmanuel Macron
Après qu’Emmanuel Macron a dit ne pas exclure l’envoie de troupes françaises en Ukraine, Jean-Luc Mélenchon a taclé, mercredi 28 février sur TF1, la politique étrangère du Président.
Comme à son habitude, Jean-Luc Mélenchon n’a pas mâché ses mots sur le plateau de la matinale de TF1, ce mercredi 28 février. "La politique étrangère de la France est faite de dérapages incontrôlés et d'annonces fantasques”, a martelé, “consterné” l’ancien patron de la France insoumise, faisant référence à l’idée d'envoyer des troupes en Ukraine.
Une idée évoquée par le président de la République, Emmanuel Macron, lundi 26 février soir, à l'issue d’une conférence de soutien à l’Ukraine avec des chefs d’Etat étrangers. Cette action militaire “ferait de nous des belligérants", a-t-il justifié avant d’ajouter que selon Jean-Luc Mélenchon, “il n'est pas question de faire la guerre [d’autant plus que] la totalité des alliés ont affirmé qu'ils ne voulaient pas participer" à cette initiative. Effectivement, l’Otan, l’Allemagne, l’Espagne ou encore les Etats-Unis se sont opposés à l’idée du chef d’Etat français.
Après qu’Emmanuel Macron a dit ne pas exclure l’envoie de troupes françaises en Ukraine, Jean-Luc Mélenchon a taclé, mercredi 28 février sur TF1, la politique étrangère du Président.
Comme à son habitude, Jean-Luc Mélenchon n’a pas mâché ses mots sur le plateau de la matinale de TF1, ce mercredi 28 février. "La politique étrangère de la France est faite de dérapages incontrôlés et d'annonces fantasques”, a martelé, “consterné” l’ancien patron de la France insoumise, faisant référence à l’idée d'envoyer des troupes en Ukraine.
Une idée évoquée par le président de la République, Emmanuel Macron, lundi 26 février soir, à l'issue d’une conférence de soutien à l’Ukraine avec des chefs d’Etat étrangers. Cette action militaire “ferait de nous des belligérants", a-t-il justifié avant d’ajouter que selon Jean-Luc Mélenchon, “il n'est pas question de faire la guerre [d’autant plus que] la totalité des alliés ont affirmé qu'ils ne voulaient pas participer" à cette initiative. Effectivement, l’Otan, l’Allemagne, l’Espagne ou encore les Etats-Unis se sont opposés à l’idée du chef d’Etat français.
