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Un hommage à Gustave Eiffel à mettre entre toutes les mains
100 ans après sa mort, le nom de Gustave Eiffel reste connu dans le monde entier et sa tour d’acier , inscrite a patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1991, fait toujours rêver. Tout le monde connaît son nom, moins son histoire. Cet ingénieur Français de génie a sa part de mystère.
Rares sont ceux qui savent encore que le jeune Eiffel est né Gustave Bonickhausen et que c’est gêné de porter un nom à consonance allemande qu’il a demandé à changer de patronyme en 1877. Oublié aussi son passage par Dijon, dans une fonderie. Un premier travail qui lui permettra pourtant de découvrir les techniques pour fondre le minéral de fer. Le génie était aussi un homme d’entreprise. Saviez-vous que pour fonder la sienne en 1860 il avait été épaulé par sa mère avec laquelle il avait une relation très forte ?
Il sauve un homme de la noyade
Autre anecdote qui montre cette fois-ci toute son humanité, lorsque Gustave Eiffel travaillait sur le pont ferroviaire de Bordeaux, son premier chantier d’envergure, il a sauvé un homme de la noyade en sautant dans les eaux froides de la Garonne pour lui porter secours. L’enfant, l’ingénieur, l’homme, le génie, à l’occasion du centenaire de la mort de Gustave Eiffel, l’Est Républicain, le Républicain Lorrain et Vosges Matin vous invitent à découvrir dès le 21 novembre chez tous nos dépositaires et dans l’espace boutique de nos sites internet, un supplément de 80 pages consacré à Gustave Eiffel. Enrichi de plans, de photos anciennes et d’anecdotes , il peut être mis entre toutes les mains.
■ Gustave Eiffel. Sortie le 21 novembre. Disponible chez nos dépositaires. 6,90 euros.
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Un hommage à Gustave Eiffel à mettre entre toutes les mains
100 ans après sa mort, le nom de Gustave Eiffel reste connu dans le monde entier et sa tour d’acier , inscrite a patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1991, fait toujours rêver. Tout le monde connaît son nom, moins son histoire. Cet ingénieur Français de génie a sa part de mystère.
Rares sont ceux qui savent encore que le jeune Eiffel est né Gustave Bonickhausen et que c’est gêné de porter un nom à consonance allemande qu’il a demandé à changer de patronyme en 1877. Oublié aussi son passage par Dijon, dans une fonderie. Un premier travail qui lui permettra pourtant de découvrir les techniques pour fondre le minéral de fer. Le génie était aussi un homme d’entreprise. Saviez-vous que pour fonder la sienne en 1860 il avait été épaulé par sa mère avec laquelle il avait une relation très forte ?
Il sauve un homme de la noyade
Autre anecdote qui montre cette fois-ci toute son humanité, lorsque Gustave Eiffel travaillait sur le pont ferroviaire de Bordeaux, son premier chantier d’envergure, il a sauvé un homme de la noyade en sautant dans les eaux froides de la Garonne pour lui porter secours. L’enfant, l’ingénieur, l’homme, le génie, à l’occasion du centenaire de la mort de Gustave Eiffel, l’Est Républicain, le Républicain Lorrain et Vosges Matin vous invitent à découvrir dès le 21 novembre chez tous nos dépositaires et dans l’espace boutique de nos sites internet, un supplément de 80 pages consacré à Gustave Eiffel. Enrichi de plans, de photos anciennes et d’anecdotes , il peut être mis entre toutes les mains.
■ Gustave Eiffel. Sortie le 21 novembre. Disponible chez nos dépositaires. 6,90 euros.
Dernière modification par jacko le 16 novembre 2023, 14:25, modifié 1 fois.
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