L’univers pourrait s’éteindre plus tôt que prévu, selon une étude néerlandaise
Selon des scientifiques néerlandais, l'univers pourrait disparaître bien plus tôt que ce que l'on pensait jusqu'ici. Rien de proche toutefois : cela n'arrivera pas avant 10 puissance 78 ans.
La disparition de notre univers pourrait arriver plus rapidement que prévu, selon des chercheurs de l'université Radboud, aux Pays-Bas, dans une étude relayée par Le Parisien, mardi 13 mai. La nouvelle échéance ? L'effondrement cosmique adviendrait dans 10 puissance 78 années... Même si c'est toujours très loin de nous, cette estimation raccourcit drastiquement les prévisions antérieures, qui tablaient sur 10 puissance 1100 années.
Pour arriver à ce résultat, les chercheurs se sont appuyés sur la théorie du rayonnement de Stephen Hawking. Dans les années 1970, ce dernier pensait que les trous noirs libèrent de la chaleur jusqu'à s'évaporer complètement. En extrapolant, l'équipe de scientifiques néerlandais a voulu calculer quand mourraient les astres les plus résistants.
La Terre condamnée bien avant l'univers
"La fin de l'univers arrive beaucoup plus tôt que prévu, mais heureusement, cela prend encore beaucoup de temps", résume Heino Falcke, principal auteur de l'étude. "En posant ce genre de questions, nous voulons mieux comprendre la théorie et peut-être percer un jour le mystère du rayonnement de Hawking", ajoute Walter van Suijlekom, co-auteur.
Ces calculs n'ont pas de conséquences concrètes pour l'humanité : pour les scientifiques, la Terre deviendra inhabitable bien avant cette échéance. Dans un milliard d'années, le Soleil sera trop chaud pour permettre la vie, et dans huit milliards d'années, il gonflera jusqu'à engloutir la Terre. En fait, si la fin de l'univers est révisée, celle de notre planète, elle, ne change pas.
Selon des scientifiques néerlandais, l'univers pourrait disparaître bien plus tôt que ce que l'on pensait jusqu'ici. Rien de proche toutefois : cela n'arrivera pas avant 10 puissance 78 ans.
La disparition de notre univers pourrait arriver plus rapidement que prévu, selon des chercheurs de l'université Radboud, aux Pays-Bas, dans une étude relayée par Le Parisien, mardi 13 mai. La nouvelle échéance ? L'effondrement cosmique adviendrait dans 10 puissance 78 années... Même si c'est toujours très loin de nous, cette estimation raccourcit drastiquement les prévisions antérieures, qui tablaient sur 10 puissance 1100 années.
Pour arriver à ce résultat, les chercheurs se sont appuyés sur la théorie du rayonnement de Stephen Hawking. Dans les années 1970, ce dernier pensait que les trous noirs libèrent de la chaleur jusqu'à s'évaporer complètement. En extrapolant, l'équipe de scientifiques néerlandais a voulu calculer quand mourraient les astres les plus résistants.
La Terre condamnée bien avant l'univers
"La fin de l'univers arrive beaucoup plus tôt que prévu, mais heureusement, cela prend encore beaucoup de temps", résume Heino Falcke, principal auteur de l'étude. "En posant ce genre de questions, nous voulons mieux comprendre la théorie et peut-être percer un jour le mystère du rayonnement de Hawking", ajoute Walter van Suijlekom, co-auteur.
Ces calculs n'ont pas de conséquences concrètes pour l'humanité : pour les scientifiques, la Terre deviendra inhabitable bien avant cette échéance. Dans un milliard d'années, le Soleil sera trop chaud pour permettre la vie, et dans huit milliards d'années, il gonflera jusqu'à engloutir la Terre. En fait, si la fin de l'univers est révisée, celle de notre planète, elle, ne change pas.
