La CPME propose de travailler 36 heures par semaine pour financer l’économie de guerre

La Confédération des petites et moyennes entreprises propose de travailler une heure de plus par semaine. Selon elle, cela permettrait de financer l’économie de guerre ainsi que les retraites.
Serait-ce la solution miracle ? La CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises) propose de passer de 35 à 36 heures de travail par semaine pour financer l’économie de guerre. Selon BFMTV, mardi 11 mars, l'organisation patronale assure que cette heure en plus permettrait aussi de financer les retraites.
Il faut dire que les récents événements à l’international ont poussé l’Europe et la France à se pencher sur le financement de leur propre défense. Emmanuel Macron a assuré, lors de sa dernière allocution aux Français, mercredi 5 mars, que le budget de la défense devait être augmenté, sans passer par des hausses d’impôt. Depuis, les spéculations vont bon train pour savoir où sera prélevé cet argent.
Une proposition de longue date
Mais la CPME ne prône pas cette heure en plus de travail par semaine depuis quelques jours. Elle la proposait déjà au moment où la question du financement des retraites était au centre des débats. Une heure de travail en plus, selon la CPME, permettrait de financer la défense et les retraites.
Cela se traduirait par la suppression de six jours de RTT pour les cadres. De quoi résoudre le problème des retraites, de la défense, du pouvoir d’achat, toujours selon l'organisation patronale. Il semble tout de même difficile de faire passer une augmentation du temps de travail, surtout auprès des syndicats. Pour un responsable de la confédération, "il n'y a pas de meilleur moyen pour augmenter la production, à l'heure où les usines d'armement doivent tourner à plein régime".

La Confédération des petites et moyennes entreprises propose de travailler une heure de plus par semaine. Selon elle, cela permettrait de financer l’économie de guerre ainsi que les retraites.
Serait-ce la solution miracle ? La CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises) propose de passer de 35 à 36 heures de travail par semaine pour financer l’économie de guerre. Selon BFMTV, mardi 11 mars, l'organisation patronale assure que cette heure en plus permettrait aussi de financer les retraites.
Il faut dire que les récents événements à l’international ont poussé l’Europe et la France à se pencher sur le financement de leur propre défense. Emmanuel Macron a assuré, lors de sa dernière allocution aux Français, mercredi 5 mars, que le budget de la défense devait être augmenté, sans passer par des hausses d’impôt. Depuis, les spéculations vont bon train pour savoir où sera prélevé cet argent.
Une proposition de longue date
Mais la CPME ne prône pas cette heure en plus de travail par semaine depuis quelques jours. Elle la proposait déjà au moment où la question du financement des retraites était au centre des débats. Une heure de travail en plus, selon la CPME, permettrait de financer la défense et les retraites.
Cela se traduirait par la suppression de six jours de RTT pour les cadres. De quoi résoudre le problème des retraites, de la défense, du pouvoir d’achat, toujours selon l'organisation patronale. Il semble tout de même difficile de faire passer une augmentation du temps de travail, surtout auprès des syndicats. Pour un responsable de la confédération, "il n'y a pas de meilleur moyen pour augmenter la production, à l'heure où les usines d'armement doivent tourner à plein régime".





