Cafésourire "Les Sims" ont 25 ans : pourquoi ce n’est pas un jeu vidéo comme les autres

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jacko
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sourire "Les Sims" ont 25 ans : pourquoi ce n’est pas un jeu vidéo comme les autres

Message par jacko »

Le 4 février 2000 sortait le premier opus des Sims, un jeu de simulation qui a marqué plusieurs générations de joueurs. On a tenté de comprendre pourquoi cette franchise était toujours aussi iconique, en interrogeant passionnés et spécialistes.
« Un véritable coup de foudre », « une histoire d’amour »… Les fans des Sims ne sont pas avares en superlatifs quand il s’agit d’évoquer leur relation avec ce jeu vidéo, qui fête ce mardi ses 25 ans. Mais pourquoi cette franchise tient-elle une place si importante dans l’univers vidéoludique ? C’est ce qu’on a tenté de savoir.

Les Sims, ce n’est rien d’autre que l’une des licences de jeux PC les plus célèbres de tous les temps. Le dernier opus en date, Les Sims 4, cumule à lui seul plus de 85 millions de joueurs à travers le monde. Parfois qualifiée de jeu “bac à sable” voire de “god game”, la franchise créée par Will Wright est l’une des toutes premières simulations de vie.
« Le métavers avant l’heure »
Le but du jeu est simple : il consiste à s’occuper de sims – des personnages surmontés d’un losange vert – et… c’est tout : Les Sims permet aux gens « d’avoir la vie qu’ils veulent, d’être qui ils veulent et de faire ce qu’ils veulent », résume Julie Escurignan, maître de conférences à l’Université Catholique de l’Ouest et spécialiste des liens entre fans et industries culturelles.

Tomber amoureux, construire sa maison, obtenir une promotion… En créant une version virtuelle d’eux-mêmes, des millions d’enfants ont pu « avoir la vie d’adulte dont ils rêvaient », souligne Anna Bressan, directrice artistique dans le secteur du jeu vidéo et secrétaire de l’association Women in Games France. « C’était une sorte de métavers avant l’heure », se rappelle ainsi Sandrine, 37 ans. Cette ancienne « sims-addict » adorait « imaginer de nouvelles maisons » et y placer des personnages à l’effigie de ses proches.

D’autres, comme Amélie 23 ans, préfèrent « laisser libre cours à [leur] imagination pour créer des univers qui [leur] plaisent ». « Les possibilités sont si grandes dans ce jeu. On peut devenir quelqu’un d’autre le temps de quelques heures », confirme Anaïs, une habitante de Dijon. Pour Julie Escurignan, c’est l’immense espace de création laissé aux joueurs qui explique en partie le succès des Sims : « C’est quelque chose d’assez intemporel, de vouloir écrire sa propre histoire, de s’imaginer une vie. »
Le 4 février 2000 sortait le premier opus des Sims, un jeu de simulation qui a marqué plusieurs générations de joueurs. On a tenté de comprendre pourquoi cette franchise était toujours aussi iconique, en interrogeant passionnés et spécialistes.
« Un véritable coup de foudre », « une histoire d’amour »… Les fans des Sims ne sont pas avares en superlatifs quand il s’agit d’évoquer leur relation avec ce jeu vidéo, qui fête ce mardi ses 25 ans. Mais pourquoi cette franchise tient-elle une place si importante dans l’univers vidéoludique ? C’est ce qu’on a tenté de savoir.

Les Sims, ce n’est rien d’autre que l’une des licences de jeux PC les plus célèbres de tous les temps. Le dernier opus en date, Les Sims 4, cumule à lui seul plus de 85 millions de joueurs à travers le monde. Parfois qualifiée de jeu “bac à sable” voire de “god game”, la franchise créée par Will Wright est l’une des toutes premières simulations de vie.
« Le métavers avant l’heure »
Le but du jeu est simple : il consiste à s’occuper de sims – des personnages surmontés d’un losange vert – et… c’est tout : Les Sims permet aux gens « d’avoir la vie qu’ils veulent, d’être qui ils veulent et de faire ce qu’ils veulent », résume Julie Escurignan, maître de conférences à l’Université Catholique de l’Ouest et spécialiste des liens entre fans et industries culturelles.

Tomber amoureux, construire sa maison, obtenir une promotion… En créant une version virtuelle d’eux-mêmes, des millions d’enfants ont pu « avoir la vie d’adulte dont ils rêvaient », souligne Anna Bressan, directrice artistique dans le secteur du jeu vidéo et secrétaire de l’association Women in Games France. « C’était une sorte de métavers avant l’heure », se rappelle ainsi Sandrine, 37 ans. Cette ancienne « sims-addict » adorait « imaginer de nouvelles maisons » et y placer des personnages à l’effigie de ses proches.

D’autres, comme Amélie 23 ans, préfèrent « laisser libre cours à [leur] imagination pour créer des univers qui [leur] plaisent ». « Les possibilités sont si grandes dans ce jeu. On peut devenir quelqu’un d’autre le temps de quelques heures », confirme Anaïs, une habitante de Dijon. Pour Julie Escurignan, c’est l’immense espace de création laissé aux joueurs qui explique en partie le succès des Sims : « C’est quelque chose d’assez intemporel, de vouloir écrire sa propre histoire, de s’imaginer une vie. »
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