Une chanson inédite de France Gall diffusée 50 ans après son enregistrement
Publié : 27 octobre 2024, 07:51
« La prisonnière », une chanson inédite de France Gall, a été exhumée « par hasard » par la maison de disques Warner. En quelques heures, le morceau a été écouté des dizaines de milliers de fois sur les plateformes.
Le bonheur est là, qui vient et qui s'en va ». Les premières paroles de la chanson « La prisonnière » interprétée par France Gall en 1974 et dévoilée vendredi par Warner est un concentré du style inimitable de Michel Berger.
Le morceau « très année 1970 » dans ses arrangements et sa mélodie devait figurer parmi les titres d'une comédie musicale qui ne verra jamais le jour.
« Il faut faire ce qu'il faut faire »
« Il faut faire ce qu'il faut faire, ce que tu dois. Mais si on te montre du doigt, si tu ne fais pas le bon choix, ce n'est plus la peine de revenir chez moi, je ne te reconnaîtrai pas », chante alors France Gall, dans cette chanson destinée à ce que l'on imagine être une figure paternelle.
Une chanson qui scelle la rencontre entre France Gall et Michel Berger ?
« La prisonnière » est enregistrée en 1974, soit tout juste un an après la rencontre entre les deux jeunes artistes alors âgés de 27 ans, raconte Le Point. France Gall, gagnante de l'Eurovision en 1965 pour le compte du Luxembourg, avec « Poupée de cire, poupée de son », écrite par Serge Gainsbourg, a du mal à s'extirper de son image de chanteuse yé-yé, et cumule les flops.
Le bonheur est là, qui vient et qui s'en va ». Les premières paroles de la chanson « La prisonnière » interprétée par France Gall en 1974 et dévoilée vendredi par Warner est un concentré du style inimitable de Michel Berger.
Le morceau « très année 1970 » dans ses arrangements et sa mélodie devait figurer parmi les titres d'une comédie musicale qui ne verra jamais le jour.
« Il faut faire ce qu'il faut faire »
« Il faut faire ce qu'il faut faire, ce que tu dois. Mais si on te montre du doigt, si tu ne fais pas le bon choix, ce n'est plus la peine de revenir chez moi, je ne te reconnaîtrai pas », chante alors France Gall, dans cette chanson destinée à ce que l'on imagine être une figure paternelle.
Une chanson qui scelle la rencontre entre France Gall et Michel Berger ?
« La prisonnière » est enregistrée en 1974, soit tout juste un an après la rencontre entre les deux jeunes artistes alors âgés de 27 ans, raconte Le Point. France Gall, gagnante de l'Eurovision en 1965 pour le compte du Luxembourg, avec « Poupée de cire, poupée de son », écrite par Serge Gainsbourg, a du mal à s'extirper de son image de chanteuse yé-yé, et cumule les flops.